LE DÉSESPOIR D’ÉLIE ET LA THÉRAPIE DE DIEU EN 1 ROIS 19.1-8

LE DÉSESPOIR D’ÉLIE
ET LA THÉRAPIE DE DIEU
EN 1 ROIS 19.1-8

Gert KWAKKEL1

« C’est assez ! Maintenant, Éternel, prends-moi la vie, car je ne suis pas meilleur que mes ancêtres. »2 Voici la demande qu’Élie adresse à Dieu, en 1 Rois 19.4b. C’est la demande d’un serviteur de Dieu qui veut présenter sa démission. En effet, Élie a quitté le territoire du royaume des dix tribus du Nord, où il a exercé son ministère prophétique. Il a parcouru tout le royaume de Juda, pour arriver à l’extrême sud, à Beer-Shéba. Comme il n’a plus besoin de son serviteur, il le laisse là (1R 19.3). Puis il quitte la terre promise et marche toute une journée dans le désert. À la fin de la journée, il s’assied sous un genêt et demande la mort.

Bien qu’une telle demande soit exceptionnelle dans la Bible, elle n’est pas unique. Moïse s’est exprimé de la sorte lorsqu’il croyait ne plus pouvoir porter sa charge de conducteur du peuple d’Israël. Il a donc dit à l’Éternel : « Plutôt que de me traiter ainsi, tue-moi donc, si j’ai trouvé grâce à tes yeux, et que je ne voie pas mon malheur. » (Nb 11.15) De la même façon, Jonas, après avoir constaté que Dieu avait renoncé à sa décision de détruire Ninive, a prié ainsi : « Maintenant, Éternel, prends-moi donc la vie, car mourir vaut mieux pour moi que vivre. » (Jon 4.3)

Moïse, Élie et Jonas étaient tous trois prophètes. Ces hommes, qui avaient un ministère très spécial au service de Dieu, pouvaient à l’évidence devenir si désespérés qu’ils ne voyaient aucune autre solution que la mort. Pour les êtres humains, c’est normal d’aimer la vie. La vie est un don suprême de Dieu. Cependant, il arrive assez souvent, y compris parmi les chrétiens, que quelqu’un préfère la mort. Si surprenante qu’elle puisse être, la demande d’Élie exprime un état intérieur que d’autres ont pu connaître.

La victoire imminente de Jézabel

Toutefois, nous pourrions trouver étonnant que ce soit Élie qui demande une chose pareille. Dans les chapitres précédents, le prophète s’était montré très motivé et extrêmement courageux, osant s’opposer au roi Achab et à la grande majorité de ses compatriotes. Conformément à l’ordre de Dieu, il avait convoqué tout le peuple au mont Carmel. Il avait affronté seul 450 prophètes de Baal et 400 prophètes d’Astarté, prophètes employés par la reine Jézabel (1R 18.19). Il les avait mis au défi de montrer la divinité et la puissance de Baal. Il en était résulté une grande victoire pour l’Éternel et pour son serviteur Élie. Tout le peuple, y compris le roi Achab, avait confessé que l’Éternel était le seul qui méritait d’être reconnu comme Dieu (1R 19.39). Sur l’ordre d’Élie, on avait même tué tous les prophètes de Baal (1R 19.40).

Sans entrer dans les détails de l’interprétation de ce dernier épisode3, nous pouvons constater qu’Élie avait vécu un moment glorieux au mont Carmel. C’était l’apogée de sa carrière en tant que prophète du Dieu d’Israël. Pourtant, il a fallu un ou deux jours seulement pour qu’il prenne la fuite et qu’il désire être libéré de sa tâche et mourir. Comment peut-on expliquer un revirement aussi inattendu et total ?

Le texte biblique nous informe que le changement de comportement du prophète est dû à l’intervention de la reine Jézabel. À la différence de son mari, le roi Achab, Jézabel ne veut pas accepter la défaite de ses dieux païens. Elle refuse de regarder les choses en face. Elle se laisse aveugler par l’amour porté à son idole.

Cela peut nous surprendre. En effet, c’est loin d’être logique. Cependant, il s’agit de quelque chose qui arrive assez souvent, quand l’homme est confronté à l’impuissance de ses propres ressources et à la suprématie du Dieu unique. Dans de telles conditions, il ne lui reste que deux options : ou bien il capitule et accepte l’autorité de Dieu, ou bien il continue à s’opposer à Dieu. Dans ce dernier cas, le combat et la haine sont assez souvent dirigés contre les fidèles serviteurs de Dieu.

Aveuglée par la haine, Jézabel représente-t-elle, cependant, un réel danger pour Élie ? Remarquons qu’elle ne dispose pas de beaucoup de moyens à ce moment précis, comme le montrent ses propres paroles en 1 Rois 19.2. Tout d’abord, elle prête serment au nom de ses propres dieux : « Que les dieux me traitent avec la plus grande sévérité, si demain, à la même heure, je ne te fais pas ce que tu leur as fait ! » (C’est-à-dire, « si je ne te tue pas comme tu as tué mes prophètes ! ».) Or, quelques heures auparavant, tout le monde avait pu observer que les dieux de Jézabel ne pouvaient rien faire. Ils étaient nuls ! Il s’ensuit que le serment que Jézabel prête en leur nom n’est qu’une parole creuse. De plus, il est un peu bizarre que Jézabel envoie un messager à Élie pour lui annoncer qu’elle va le tuer vingt-quatre heures plus tard. Si elle a vraiment l’intention et la possibilité de lui ôter la vie, pourquoi attendre toute une journée ? Pourquoi ne pas l’arrêter et l’exécuter tout de suite ? Pourquoi envoyer un messager et donner ainsi à Élie l’occasion de s’échapper ?

Il n’y a qu’une seule réponse à toutes ces questions : la reine n’était pas vraiment en état de tuer le prophète, parce que son mari, le roi Achab, et tout le peuple soutenaient Élie. Étant donné qu’elle ne peut pas tuer le prophète, Jézabel recourt à la seule arme qui lui reste : le bluff. Elle brandit une menace vide, tout en espérant que cela effraiera Élie, qu’il disparaîtra de son pays et qu’elle sera débarrassée de ce prophète gênant.

La stratégie de Jézabel fonctionne : Élie est effectivement déstabilisé et il prend la fuite. Pour Jézabel, c’est le meilleur résultat qu’elle pouvait espérer. Nous pourrions même dire que c’est une ruse du diable qui semble réussir. N’oublions pas qu’Élie serait probablement devenu un martyr célèbre si Jézabel avait réussi à le tuer à l’apogée de sa carrière, alors que tout le monde était de son côté. Mais elle parvient à transformer le héros du Dieu d’Israël en un fuyard effrayé, qui abandonne son peuple et refuse de poursuivre le combat au service de son Seigneur.

Jusque-là, Élie donnait l’impression d’être le partisan le plus courageux de l’Éternel. Il avait vu son Dieu pourvoir à ses besoins, lorsqu’il s’était réfugié au torrent du Kerith, puis chez la veuve de Sarepta (1R 17). Mais ici, ces signes semblent oubliés. Le grand prophète perd confiance. Il ne croit plus que Dieu puisse lui venir en aide et le protéger. Il ne voit aucune autre solution que de disparaître du monde des vivants. Il se considère comme un homme fini. Tous ses efforts et tous ses combats, toutes ses victoires également, semblent anéantis. Pour lui, la mort paraît être l’aboutissement de toute l’œuvre de Dieu.

Cela signifie qu’en fin de compte Jézabel et ses dieux, Baal et Astarté, l’ont emporté sur l’Éternel. Le prophète du Dieu d’Israël ne défend plus le vrai Dieu. De plus, l’Éternel, qui prétend être le seul Dieu qui donne la vie à son peuple, apparaît comme incapable de garder son serviteur en vie et de le rendre heureux. Tout cela équivaut à une victoire décisive de Jézabel et de ses idoles4.

La vision limitée du prophète

Comment cela est-il possible ? Comment expliquer ce découragement total et surprenant du prophète ?

Certes, on peut avancer une explication psychologique. Il s’agit d’une expérience que tout le monde connaît : celle de la désillusion et du recul après une grande réussite. Dans l’instant, on pense que désormais tout ira bien, mais le lendemain, le retour à la vie normale s’impose et l’on tombe dans une sorte de dépression.

Ainsi, dans une certaine mesure, on peut comprendre le comportement d’Élie. Pourtant, le texte nous présente une autre explication. En fait, c’est Élie lui-même qui la fournit, dans ses propres paroles. Lorsqu’il demande à Dieu de lui prendre la vie, il avance l’argument suivant : « Car je ne suis pas meilleur que mes ancêtres. »

Ce qu’il dit ici est exact. Quelques siècles plus tard, Jacques, le frère de Jésus, le confirmera dans son épître : « Élie était un homme de la même nature que nous. » (Jc 5.17) De toute évidence, l’argument d’Élie correspond à la réalité. Il est un homme comme les autres. Mais c’est précisément parce que Élie a fixé son attention sur cette réalité qu’il s’est égaré et s’est laissé ébranler au point de perdre tout espoir et de préférer la mort à la vie. Et il en a conclu que, pour cette raison-là, Dieu ne pouvait pas lui demander de s’acquitter de la charge qu’il lui avait assignée, c’est-à-dire le servir comme son prophète.

En disant qu’il n’est pas meilleur que les autres, Élie montre qu’il ne prend en considération que ses propres capacités et ses propres efforts. Cela correspond à ce qu’il dira quarante jours plus tard au mont Horeb : « J’ai déployé tout mon zèle pour l’Éternel. » Mais, hélas, sans succès : « En effet, les Israélites ont abandonné ton alliance, ils ont démoli tes autels et ont tué tes prophètes par l’épée. Je suis resté, moi seul, et ils cherchent à m’enlever la vie. » (1R 19.10, 14) Il semble même avoir oublié tout ce qui s’est passé au mont Carmel, car il n’en dit rien !

Il est vrai que, si l’on met de côté la conversion du peuple au mont Carmel, on peut dire que les fidèles étaient peu nombreux à l’époque. Pourtant, Élie était loin d’être le seul. Abdias, le chef du palais d’Achab, l’avait informé qu’il avait caché cent prophètes de l’Éternel (1R 18.13). Dans sa réponse à la plainte d’Élie en 1 Rois 19.10, 14, Dieu lui dit qu’il reste toujours 7000 fidèles en Israël (1R 19.18). Il semble que tout cela échappe à Élie. Il se fixe sur ses propres efforts et ses propres capacités, capacités qui, bien sûr, sont semblables à celles de ses ancêtres. Autrement dit, il ne voit plus l’œuvre de Dieu et ne compte plus sur sa puissance5. Voilà la raison pour laquelle il a perdu tout espoir.

Ce qui lui est arrivé ressemble un peu à l’expérience de Pierre. Lorsque Jésus l’invite à venir à lui, tout en marchant sur l’eau du lac de Galilée, tout va bien, jusqu’au moment où il porte son attention sur la mer agitée. Dès lors, il commence à s’enfoncer. Il perd courage au moment précis où il cesse de porter le regard sur Jésus et ne voit plus que ses propres capacités. C’est alors que le miracle s’arrête.

Tel peut être notre sort en tant que serviteurs de Dieu. Si nous ne regardons pas au-delà de nos possibilités humaines, nous risquons de perdre espoir. Si tout dépend de nos efforts, nous pouvons même être amenés à croire que la mort vaut mieux que la vie.

La réaction bienveillante de Dieu

Heureusement, cette conclusion bien sombre n’est pas la fin du récit. Après avoir formulé sa requête, Élie se couche et s’endort. Apparemment, il voulait ainsi attendre la mort qu’il désirait tellement. Mais Dieu en décide autrement. Il lui envoie un ange, qui lui apporte de quoi manger et boire (1R 19.5-6). En faisant cela, Dieu lui montre qu’il n’acquiesce pas à sa demande mais qu’au contraire il désire qu’il reste en vie. Toutefois, Dieu ne s’adresse pas à lui d’une manière indignée. Il ne lui fait aucun reproche. Il lui indique de manière implicite ce qu’il a décidé à son sujet en pourvoyant aux besoins immédiats de son prophète désespéré.

Cette première action divine ne suffit pas à convaincre Élie, car après avoir mangé et bu, il se recouche (1R 19.6b). Le prophète ne donne donc aucun signe indiquant qu’il a accepté de poursuivre sa route. Une deuxième intervention sera nécessaire. Toujours sans lui faire de reproches, Dieu lui envoie à nouveau un ange avec de l’eau et de la nourriture, manifestant ainsi sa patience envers son serviteur déprimé et récalcitrant. Mais à la différence de la première fois, il lui indique maintenant ce qu’il doit faire : « Lève-toi et mange, car le chemin est trop long pour toi. » (1R 19.7) L’ange ne précise pas le but du voyage, mais il ressort de la suite du récit qu’Élie devait se rendre plus loin dans le désert, à la montagne de Dieu, au mont Horeb (1R 19.8).

La leçon de la marche au désert

Élie se laisse finalement convaincre par cette deuxième intervention de Dieu. Il se lève et se met en route. Grâce à la force que lui procurent les gâteaux que l’ange lui a donnés, il marche pendant quarante jours et quarante nuits, et arrive au mont Horeb – un autre nom pour le mont Sinaï.

Selon Deutéronome 1.2, il fallait onze journées de marche pour aller de Kadès-Barnéa au mont Horeb. Or, Kadès-Barnéa se trouve à environ 60 kilomètres au sud de Beer-Shéba, où Élie avait laissé son serviteur et d’où il avait marché une journée dans le désert. Il s’ensuit qu’il a fallu au prophète beaucoup plus de temps que nécessaire pour faire ce voyage à pied. Normalement, quinze jours auraient suffi. Le texte n’explique pas la raison de la longue durée du voyage. Il souligne seulement que pendant ces quarante jours et quarante nuits, le prophète a survécu et marché avec la force que lui ont procuré les deux petits repas servis par l’ange de Dieu. Quel est donc le sens de ce voyage si miraculeux ?

Encore une fois, le texte ne l’explique pas, mais il fournit quand même des indications en suggérant un parallèle. Outre le nombre quarante pour indiquer la durée du voyage, le texte précise qu’Élie a marché dans le désert entre le mont Horeb et la terre promise. De plus, c’est grâce à une nourriture bien modeste venue du ciel qu’il a pu parvenir à destination. Tous ces éléments nous rappellent les quarante ans pendant lesquels le peuple d’Israël avait erré et séjourné dans ce même désert, nourri tous les jours par la manne qui tombait du ciel, avant d’arriver au pays de Canaan.

Comme pour Élie, ce voyage des Israélites avait pris beaucoup plus de temps que nécessaire, parce que ceux-ci, après avoir écouté le rapport des dix espions qui avaient exploré le pays de Canaan, avaient perdu confiance, et en conséquence refusé de prendre possession du pays. Or, la raison de cette perte de confiance était justement qu’ils en étaient venus à ne considérer que leurs propres capacités, bien limitées. Ils ont eu peur des géants qui habitaient le pays et se sentaient incapables de s’emparer de leurs grandes villes fortifiées (cf. Nb 13.27-14.4). Ils ont refusé de se laisser convaincre par les paroles de Josué et Caleb, qui les encourageaient à compter sur l’aide de l’Éternel, une aide pourtant suffisante pour commencer la conquête en toute confiance et l’amener à son terme (Nb 14.6-10). En conséquence, Dieu a décidé que le peuple devrait encore rester quarante ans dans le désert, jusqu’à ce que tous les adultes qui n’avaient pas eu confiance en lui soient morts (Nb 14.26-35).

Pendant les quarante jours et quarante nuits de son voyage, Élie parcourt le territoire où se trouvent les tombes de ses ancêtres morts dans le désert. Chaque jour passé dans cette région lui rappelle sans doute les conséquences de leurs fautes : si l’on ne prête attention qu’à ses propres capacités humaines, si l’on ne tient pas compte de ce que Dieu peut faire, on risque de perdre la vie. Il n’y a pas d’avenir pour le peuple de Dieu s’il essaie de survivre sans compter sur lui. Une telle attitude n’aboutit qu’à la mort.

Pourtant, c’est dans ce même désert que Dieu a pris soin des enfants de ces Israélites adultes qui allaient mourir. Il a fait survivre leurs enfants au moyen de la manne, qui a continué à tomber du ciel pendant quarante ans. Chaque jour et chaque nuit de la marche d’Élie dans ce désert peuvent ainsi lui rappeler ce miracle. Dieu l’invite à prendre conscience de la façon extraordinaire dont il a pourvu aux besoins de ses ancêtres.

Le regard en haut

De toute évidence, la thérapie pédagogique de Dieu n’a pas suffi pour libérer immédiatement le prophète de son pessimisme et lui donner un nouvel espoir. En effet, une fois arrivé au mont Horeb, Élie se plaint que ses efforts sont restés sans succès et que sa vie est en danger (1R 19.10). Il ne croit manifestement pas qu’il vaille la peine de retourner vers son peuple pour reprendre sa tâche de prophète de l’Éternel. Il faut d’autres mesures divines pour qu’il soit de nouveau mis en route.

Cependant, ce passage de l’Écriture sur le désespoir d’Élie et la réaction bienveillante de Dieu nous apporte un riche enseignement en ce qui concerne notre vie au service de l’Éternel. Parfois, en effet, le découragement nous guette. Il peut nous arriver de penser qu’il devient impossible de persévérer dans nos engagements ou de répondre à certaines demandes de Dieu, tant les obstacles paraissent insurmontables. Il est alors essentiel que nous cessions de fixer notre attention sur nos propres capacités, toujours limitées. C’est seulement en tournant notre regard vers Dieu que nous pourrons reprendre courage et poursuivre notre route.

Dieu nous a montré son amour et sa puissance une fois pour toutes dans la vie de son Fils, Jésus-Christ. Par sa mort et sa résurrection, Jésus a vaincu la puissance du mal et de la mort. Fixer notre attention sur cette œuvre miraculeuse de Dieu en son Fils ne nous empêchera pas de rencontrer des problèmes sérieux et difficiles. Toutefois, ils ne pourront pas nous faire perdre tout espoir, car la victoire est certaine. Tournons donc notre regard vers celui qui nous rend plus que vainqueurs (Rm 8.37) !


  1.  G. Kwakkel est professeur d’Ancien Testament à la Faculté Jean Calvin d’Aix-en-Provence et à la Faculté de théologie des Églises réformées (libérées) de Kampen (Pays-Bas).↩︎

  2.  Sauf indication contraire, les citations bibliques sont tirées de la version Segond 21.↩︎

  3.  Notons seulement que Moïse avait prescrit la peine de mort pour tous ceux en Israël qui essaieraient d’entraîner le peuple dans l’idolâtrie ; voir Dt 13.↩︎

  4.  À propos de la réaction de Jézabel en 1 Rois 19.2, voir aussi M.B. Van’t Veer, My God is Yahweh : Elijah and Ahab in an Age of Apostasy (traduit du néerlandais par T. Plantinga), St. Catharines, Paideia, 1980, p. 319-328.↩︎

  5.  Cf. M. Richelle, Guide pour l’exégèse de l’Ancien Testament. Méthodes, exemples et instruments de travail, Édifac, Vaux-sur-Seine/Excelsis, Charols, 2012, p. 132.↩︎

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